Déterminer le type à partir des fonctions
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Déterminer le type à partir des fonctions
Dans les points précédents, nous avons établi que nous possédons une préférence pour une fonction de perception (P) et une préférence pour une fonction de jugement (J), une étant orientée vers le monde intérieur et l'autre vers le monde extérieur (i ou e). L'une de ces préférences étant plus forte que l'autre, cela permet de déterminer le fonctionnement de la personnalité.
Par exemple, une personne possède une forte préférence pour la collecte des faits Si (P: Perception) et une préférence moyenne pour le traitement subjectif de l'information Fe (J: Jugement).
On peut donc écrire, par importance décroissante de fonction: Si Fe
Les axes étant équilibrés, la fonction complémentaire de la perception Si, Ne, sera placée tout à la fin et la fonction complémentaire du jugement Fe, Ti, en troisième position.
Cela donne donc: Si Fe Ti Ne
La première fonction, Si dans ce cas, s'appelle la dominante. C'est la première qui se développe au cours de la vie. En cas de désaccord entre les autres fonctions, c'est elle qui arbitre pour savoir quel comportement adopter par rapport à la situation.
La seconde fonction, Fe, dans ce cas, s'appelle l’auxiliaire et se développe assez tôt dans l'enfance, peu après la dominante.
La troisième fonction, Ti dans ce cas, s'appelle la tertiaire. Elle se développe de façon significative vers 30 ans.
La dernière fonction, ici Ne, se nomme l'inférieure et se développe naturellement vers 40-50 ans. Son fonctionnement est le plus mal maîtrisé.
On utilise les conventions suivantes pour désigner chacun des seize fonctionnements possibles:
En conservant le même exemple, on note le type de perception et le type de jugement préférés: SF.
Le fonctionnement qu'on voit en premier chez une personne est celui orienté vers le monde extérieur. S'il s'agit d'une fonction de perception, on note P et s'il s'agit d'une fonction de jugement, on note J. Ici, c'est la fonction de jugement Fe qui est tournée vers l'extérieur. On obtient donc SFJ.
On ajoute à cela une lettre pour indiquer l'orientation intérieure (I) ou extérieure (E) de la fonction dominante. Pour notre exemple, la dominante est Si, donc orientée vers l'intérieur. La notation finale est par conséquent ISFJ.
Le type de personnalité ainsi obtenu permet de décrire des tendances globales dans la manière dont fonctionne une personne au contact de son environnement. C'est une préférence de fonctionnement que l'on peut rapprocher du fait d'être droitier ou gaucher. Elle sert d'indicateur de la manière dont la personne utilise ses capacités. On retrouve des tendances communes entre les personnes d'un même type de personnalité; néanmoins chacune reste unique par son histoire personnelle.
Par exemple, une personne possède une forte préférence pour la collecte des faits Si (P: Perception) et une préférence moyenne pour le traitement subjectif de l'information Fe (J: Jugement).
On peut donc écrire, par importance décroissante de fonction: Si Fe
Les axes étant équilibrés, la fonction complémentaire de la perception Si, Ne, sera placée tout à la fin et la fonction complémentaire du jugement Fe, Ti, en troisième position.
Cela donne donc: Si Fe Ti Ne
La première fonction, Si dans ce cas, s'appelle la dominante. C'est la première qui se développe au cours de la vie. En cas de désaccord entre les autres fonctions, c'est elle qui arbitre pour savoir quel comportement adopter par rapport à la situation.
La seconde fonction, Fe, dans ce cas, s'appelle l’auxiliaire et se développe assez tôt dans l'enfance, peu après la dominante.
La troisième fonction, Ti dans ce cas, s'appelle la tertiaire. Elle se développe de façon significative vers 30 ans.
La dernière fonction, ici Ne, se nomme l'inférieure et se développe naturellement vers 40-50 ans. Son fonctionnement est le plus mal maîtrisé.
On utilise les conventions suivantes pour désigner chacun des seize fonctionnements possibles:
En conservant le même exemple, on note le type de perception et le type de jugement préférés: SF.
Le fonctionnement qu'on voit en premier chez une personne est celui orienté vers le monde extérieur. S'il s'agit d'une fonction de perception, on note P et s'il s'agit d'une fonction de jugement, on note J. Ici, c'est la fonction de jugement Fe qui est tournée vers l'extérieur. On obtient donc SFJ.
On ajoute à cela une lettre pour indiquer l'orientation intérieure (I) ou extérieure (E) de la fonction dominante. Pour notre exemple, la dominante est Si, donc orientée vers l'intérieur. La notation finale est par conséquent ISFJ.
Le type de personnalité ainsi obtenu permet de décrire des tendances globales dans la manière dont fonctionne une personne au contact de son environnement. C'est une préférence de fonctionnement que l'on peut rapprocher du fait d'être droitier ou gaucher. Elle sert d'indicateur de la manière dont la personne utilise ses capacités. On retrouve des tendances communes entre les personnes d'un même type de personnalité; néanmoins chacune reste unique par son histoire personnelle.
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